Etienne Bours
Il y a quelques années, j’ai eu la chance de rencontrer l’étonnant musicologue autrichien Gerhard Kubik. L’homme est passionnant, parle plusieurs langues, connaît certaines régions d’Afrique comme sa poche et est lui-même musicien. Il jouait ce soir-là avec un groupe de kwela du Malawi. Nous avons devisé après le concert et comme je connaissais certains de ses livres, nous avons également parlé de ceux qui écrivent dans des magazines et autres vecteurs dédiés aux musiques dites traditionnelles. Et là : surprise ! Monsieur Kubik me dit « oui, attention, il y a la littérature primaire, ce que nous faisons nous, et la littérature secondaire, celle que vous faites ».
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