^{Epistémologix}

Quand les bourgeois de la ville ont inventé le formica, les paysans on commencé à bazarder leur mobilier traditionnel. A la place, ils ont acheté du formica. Pour faire comme les bourgeois de la ville. Parce que la ville, c'est là qu'est le progrès, c'est là que vivent les gens instruits, ceux qui comprennent le monde.

Dans les rues, sur les places, à la fraternelle, à l’église, au théâtre de verdure et dans la cour carré du Fort Gibron… Avec le soleil revenu la musique était magnifiquement là. Le menu de ce deuxième jour des joutes était bien grassouillet ! Petit florilège de la journée.

À Correns, ce vendredi était nettement consacré aux enfants. Ce sont une centaine d’enfants qui "interprètaient", tous très impressionnés, devant un large public de parents à la Fraternelle – La salle de spectacle de Correns – la restitution du travail effectué depuis des mois avec Guy Thévenon.

_{Philippe Krümm}

"Les musiques du monde sont celles qu’écoutent 80% des femmes et des hommes de la planète. À travers leurs expressions, rurales ou urbaines, sacrées ou profanes, elles incarnent la diversité des identités culturelles et des imaginaires qui les suscitent. Un arc-en-ciel du sensible qui souvent épouse leurs environnements naturels. En cela le plaidoyer pour la valorisation la plus large de ces musiques d’essence patrimoniale rejoint celle pour la conscience de l’importance des milieux naturels et des espèces. Le premier village du tout bio en France se devait d’acter cet enjeu." _{Edito : Frank Tenaille}