PATATES SOUND SYSTEM

Il faut bien vivre avec son temps celui des musiciens de Patates Sound system. Et puis pour commencer « l’eau à la mouche » un petit jeu de mots. Cela ne peut pas faire de mal.

Ensuite un beau banjo quatre cordes (soit Olivier Leroy - Samuel Arnoux). L’américain revient à la mode et c’est une bonne nouvelle.

Du whistles bien low. Une voix comme dans un mégaphone, réminiscence de manifs que les musiciens de « Patates » n’ont pas vraiment connues. Mais le porte voix « électrique » est bien présent c’est temps ci dans de nombreuses formation : Le son « pourri » …Le retour.

Et au fil des plages la vielle court toujours pour notre plus grand plaisir. Les machines (Samuel Arnoux) sont la pour « gravifier » (oui je sais le mot n’existe pas) le tout. La Batterie omniprésente, car quand même quand on est jeune, on est rock !

Oh ! La guitare un peut être un hommage à Ennio Morricone. Décidément je crois déceler des clins d’œil retro un peu partout. Mais la guitare (Laurent Lepoul) peut se faire blues « Malien » ». Une belle mandole (Laurent lepoul, aussi). Un peu de « bandes magnétiques » enregistrement anciens (collectages) et pas !

Mais trêve de plaisanteries. C’est vraiment un bon disque. Un groupe intéressant, à découvrir pour ceux qui ne fréquentent pas les lieux particulièrement dansants. Le tout est musical, créatif et pêchu. Patates Sound System fait de purs choix. Il y a même la « scottish à Émeline » de Jean-François Vrod. Et ça c’est du bon …C’est un vieux qui vous le dit.

Annexe 1

Et on dit des mercis humoristiques sur une piste cachée…en bout de rondelle (Oui ! trouver un bout à une rondelle ?…Pas facile) …Jeunes jusqu’au bout.

Annexe 2

Oh ! Il y a un morceau, (le 6 pour être précis) : « Vincent 1000 ânes » Est ce une allusion à la mythique moto ? J’en doute. Mais à chacun ses fantasmes.

Production : Cie des tubercules